Out 2009, welcome 2010…

Et voilà, une année de finie et une autre qui recommence.

Et tout d’abord, je souhaite à tous les lecteurs une excellente année 2010, une excellente santé, plein de bonheur et que tous vos projets se concrétisent.

Ici, nous avons terminé l’année avec une semaine de vacances en famille et cela nous a fait un bien fou, notamment pour ce qui est de la récupération de sommeil en retard car notre pitchoune nous a crédité de grasses matinées bien méritées, eh oui Liam s’est levé en moyenne vers 11h15 tous les matins ! le bonheur…

Côté loisirs cela n’a pas été mauvais non plus, dans le désordre : quelques ballades, quelques restos, de supers moments passés avec Fanny et David, un peu de boulot et en point culminant la séance 3D d’Avatar de James Cameron que nous attendons depuis bientôt 15 ans….

Je ne ferais pas de critique sur Avatar, mon sentiment à la sortie du film peut se résumer en un seul mot : MAGIQUE. Donc je vous le conseille vivement dépaysement garanti..

Voilà donc comment s’est terminé 2009, pour moi l’année 2010 devrait se révélée cruciale en raison des moultes projets que j’ai en tête mais j’y reviendrais au fur et à mesure de leur réalisation, le premier d’ailleurs est déjà fait puisqu’ayant recréer une société d’ingénierie web et informatique en free-lance sous le statut d’auto-entrepreneur.

J’aimerais donc commencer cette année par une touche d’humour amer vis à vis de ce qui se passe en France en ce moment, nous perdons ici notre principe fondateur de république, nous sommes entrain de revenir sous un régime monarchique, sous une régime de terreur médiatique afin de ne pas permettre aux français de réfléchir par leurs propres moyens et ce texte de Victor Hugo colle tout à fait à la situation actuelle que connaît  notre pays :

Que peut-il ? Tout. Qu’a-t-il fait ? Rien.
Avec cette pleine puissance, en huit mois un homme de génie
eût changé la face de la France, de l’Europe peut-être.
Seulement voilà, il a pris la France et n’en sait rien faire.
Dieu sait pourtant que le Président se démène :
il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ;
ne pouvant créer, il décrète ;
il cherche à donner le change sur sa nullité ;
c’est le mouvement perpétuel ;
mais, hélas !
cette roue tourne à vide.
L’homme qui, après sa prise du pouvoir
a épousé une princesse étrangère est un carriériste avantageux.
Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne,
ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir.
Il a pour lui l’argent, l’agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort.
Il a des caprices, il faut qu’il les satisfasse.
Quand on mesure l’homme et qu’on le trouve si petit
et qu’ensuite on mesure le succès et qu’on le trouve énorme,
il est impossible que l’esprit n’éprouve pas quelque surprise.
On y ajoutera le cynisme car, la France,
il la foule aux pieds, lui rit au nez, la brave,
la nie, l’insulte et la bafoue !
Triste spectacle que celui du galop, à travers l’absurde,
d’un homme médiocre échappé ‘.

Victor HUGO, dans ‘ Napoléon, le petit »